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Les arrageois se souvienne de celui qui fit les beaux jours de "la Marmite".
Au temps où il avait la barbe, il chantait Paradis Noir, une espèce de blues de despérado romantique,
puis après s’être rasé, il enregistre Laisse entrer la Lumière, puis Devant moi il y a la vie,
ce qui prouve que l’espoir peut naître de la désespérance et que la couleur peut jaillir de l’obscurité.
En 2008, son précédent CD s’intitulait A nos vies, célébration plurielle de ce qui est notre essentiel.
Tout cela avec une voix inimitable, chaude, enveloppante comme une écharpe l’hiver.
Cette présentation est empruntée au journal "les enchanteurs"
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